Si la publicité doit se servir de la violence faite aux femmes pour atteindre ses objectifs, alors une limite inacceptable est franchie selon Anne Bouillon : "Faire sa pub sur les violences sexuelles subies par les femmes, c'est les banaliser, les rendre moins graves et ça c'est inacceptable ." Et d'ajouter : "Ce n'est pas une question d'humour, Bagelstein appuie sa publicité sur la violence faite aux victimes, pourquoi celles-là plus que d'autres ?"
Elle s'en explique sur France 3 (Emission du 19/20 du 13 juin : son intervention démarre à 10'31 ).